Beauchastel : village de caractère
Accroché au flanc d’un éperon rocheux, le vieux village de Beauchastel veille la rencontre du Rhône et de l’Eyrieux. S’étageant sous le donjon, il était comme tant de bourgs médiévaux protégé par une enceinte qui le mettait à l’abri de tout danger.
L’ancienne porte des remparts existe toujours. Plusieurs maisons à caractère médiéval ou plus tardives, parées de schiste de la montagne et de galets de rivière apparaissent au gré des promenades dans les ruelles et passages.
Tombé à l’abandon, le vieux village de Beauchastel revit depuis 1973 grâce au travail de l’association ” Enfants et Amis de Beauchastel “. L’agglomération plus récente se trouve au confluent de la rivière Eyrieux et du Rhône.
La Grand’rue, l’ancienne route royale, remontait la vallée de l’Eyrieux, à distance respectable de l’impétueuse rivière.
Au début du XXe siècle, c’est le quartier commerçant du village. Le nombre et la diversité des commerces et ateliers d’artisans révèle l’importance de Beauchastel : 800 personnes vivaient ici en 1901 ! le village était également le lieu de quatre foires par an, autant d’occasions pour toute la région de faire commerce.
Le théâtre : Jusqu’en 1980, se trouvait en ces lieux le cimetière catholique. Aujourd’hui, ce cadre remarquable sert de scène à tous les artistes qui se produisent tout au long de la saison estivale : concerts, théâtre …
Le donjon : La première mention de Bellum Castellum, ” beau château “, date de 1179. Les ruines aujourd’hui isolées du donjon de plan carré dominent le vieux village. Le bâtiment qui peut être daté du XIIe siècle, ne présente pas d’ouverture visible. Il ne reste rien de l’enceinte ou des autres bâtiments qui devaient accompagner cette tour : au tout début du XVIIe siècle, le château est déjà décrit comme ruiné.
Un sculpteur d’art brut : De 1905 à 1944, Alphonse Gurlhie a habité à Beauchastel. Pratiquant une expression populaire atypique, ce personnage hors du commun a fait un jardin exposant ces “totems” où figure un bestiaire coloré qui préfigure l’art brut.
Tombé à l’abandon, le vieux village de Beauchastel revit depuis 1973 grâce au travail de l’association ” Enfants et Amis de Beauchastel “. L’agglomération plus récente se trouve au confluent de la rivière Eyrieux et du Rhône.
La Grand’rue, l’ancienne route royale, remontait la vallée de l’Eyrieux, à distance respectable de l’impétueuse rivière.
Au début du XXe siècle, c’est le quartier commerçant du village. Le nombre et la diversité des commerces et ateliers d’artisans révèle l’importance de Beauchastel : 800 personnes vivaient ici en 1901 ! le village était également le lieu de quatre foires par an, autant d’occasions pour toute la région de faire commerce.
Le théâtre : Jusqu’en 1980, se trouvait en ces lieux le cimetière catholique. Aujourd’hui, ce cadre remarquable sert de scène à tous les artistes qui se produisent tout au long de la saison estivale : concerts, théâtre …
Le donjon : La première mention de Bellum Castellum, ” beau château “, date de 1179. Les ruines aujourd’hui isolées du donjon de plan carré dominent le vieux village. Le bâtiment qui peut être daté du XIIe siècle, ne présente pas d’ouverture visible. Il ne reste rien de l’enceinte ou des autres bâtiments qui devaient accompagner cette tour : au tout début du XVIIe siècle, le château est déjà décrit comme ruiné.
Un sculpteur d’art brut : De 1905 à 1944, Alphonse Gurlhie a habité à Beauchastel. Pratiquant une expression populaire atypique, ce personnage hors du commun a fait un jardin exposant ces “totems” où figure un bestiaire coloré qui préfigure l’art brut.
Equipements / Services
- Accessible sans voiture
Ouverture / Tarifs
Ouverture
Du 01/01 au 31/12, tous les jours.
Tarifs
Accès libre.