Menhir de la Grosse Pierre ou du Colombier
Par Toutatis ! Mais qui a planté le menhir de Grosse pierre ?
Obélix n’y est pour rien. Ce sont les premiers paysans du néolithique.
Obélix n’y est pour rien. Ce sont les premiers paysans du néolithique.
Autrefois appelé « Peyre Plantado » ce menhir de 3,50m a été redressé par le syndicat d'initiative de Saint-Martin d'Ardèche autour de 1930.
On compte très peu de menhirs en Ardèche (9 en tout), certains ont sans doute été cassés par les hommes, le temps ou parfois transformés en croix !
Celui-ci a échappé à la destruction.
Son érection originelle est attribuée à la civilisation qui a érigé les dolmens entre 2600 et 1800 ans av. J.-C. mais sa datation précise n’est pas permise (aucun mobilier ni élément permettant la datation scientifique)
Bien que n’ayant pas proprement de fonction funéraire, on peut le mettre en rapport avec le dolmen du Colombier.
D’après Léopold Chiron, un des pionniers de l’archéologie ardéchoise au XIXe siècle, les menhirs étaient dénommés des “Plourousses”, car on supposait qu’ils marquaient l’emplacement où se réunissaient les pleureuses lors des cérémonies funéraires. Il n’est pas possible de savoir si ce menhir était isolé ou s’il faisait partie d’un ensemble plus vaste. Tout comme la fonction n’a jamais été définie avec exactitude.
Situé 400 m plus à l’est, le dolmen du Colombier fait aussi partie du sentier botanique de la Grossepierre, au départ de la grotte de Saint-Marcel.
On compte très peu de menhirs en Ardèche (9 en tout), certains ont sans doute été cassés par les hommes, le temps ou parfois transformés en croix !
Celui-ci a échappé à la destruction.
Son érection originelle est attribuée à la civilisation qui a érigé les dolmens entre 2600 et 1800 ans av. J.-C. mais sa datation précise n’est pas permise (aucun mobilier ni élément permettant la datation scientifique)
Bien que n’ayant pas proprement de fonction funéraire, on peut le mettre en rapport avec le dolmen du Colombier.
D’après Léopold Chiron, un des pionniers de l’archéologie ardéchoise au XIXe siècle, les menhirs étaient dénommés des “Plourousses”, car on supposait qu’ils marquaient l’emplacement où se réunissaient les pleureuses lors des cérémonies funéraires. Il n’est pas possible de savoir si ce menhir était isolé ou s’il faisait partie d’un ensemble plus vaste. Tout comme la fonction n’a jamais été définie avec exactitude.
Situé 400 m plus à l’est, le dolmen du Colombier fait aussi partie du sentier botanique de la Grossepierre, au départ de la grotte de Saint-Marcel.